Scenographie de L’affaire G01D0R4K par Carlo Cammarata

La fin c’est le commencement

Le commencement c’est Gaël dans sa tour qui a vu quelque chose dans le ciel qu’il pense être un vaisseau de Goldorak, certainement l’Alcorak…

Il se perd un p’tit peu dans la forêt et il y a quand même quelques indices qui apparaissent, comme ce rocher avec des écrits d’une langue inconnue, cet arbre d’or surgit de nulle part… Avec ces éléments de recherche et ce radar qui, finalement est connecté avec un étrange endroit…

Il doute que ce soit là… mais il ne fait pas attention à ce drôle de véhicule qu’on connait tous
et Il continue sa quête.

Confronté à des blocages, c’est sous surveillance qu’il retourne en ville.

Tout à coup il s’aperçoit qu’il y a quelque chose qui est complètement défendu avec ce terrain militaire : défense d’entrée et de photographier.

Il continue et arrive jusqu’à l’ambassade du japon qu’il convainc de faire éclore la vérité au grand jour.

On commence les recherches, un hélicoptère est lancé à la recherche de preuves. Ils aperçoivent au loin un truc étrange, cet arbre à forme humaine… La gendarmerie est mandatée pour continuer l’enquête qui les emmènent jusqu’à la principauté de Barnenez.
Sur zone, ils interrogent les gens qui clament n’avoir rien vu et ne rien savoir mais qui, finalement, jouent aux cartes Goldorak. L’atmosphère est pesante, personne ne dit rien… On sent le poids de la censure, l’omerta…

Bien sûr ! Ils en ont entendu parler mais c’est une légende que l’on conte régulièrement aux p’tits enfants Cette histoire de Goldorak… on leur raconte tellement que ça leur permet de s’endormir. Ils en font des rêves, s’imaginent des lieux d’un autre temps des machines, des lieux complètement surnaturels…

L’enquête avance. Des preuves sont trouvées comme cette espèce de lieu historique, qui, quand on regarde d’un peu plus près, dévoile une gargouille Goldorak. Preuve irréfutable qu’il a été représenté par nos ancêtres.

C’est reparti mais cette fois on fait appel à la technologie avec l’aide des radars. Puis il y a cette grange qui interpelle Gaël se dit que peut être c’est là qu’il faut chercher…

Il pénètre dans la grange, de passage en passages, de signaux captés en signaux captés, il arrive sur un territoire inconnu et extraterrestre et fini par enfin détecter la première preuve visuelle : le Fulguropoing de Goldorak en pleine place centrale d’une ville Bretonne.

Point de non-retour, tout commence à découler tels les derniers épisodes de la dernière saison d’une série animée…

Il a compris qu’il devait s’équiper de son costume de cosmonaute et ses sabots bretons que personne n’avait vu mais ce sont les cornes de Goldorak.

De recherche en recherche Goldorak apparait enfin ! Atterrissant sur une piste secrète en Bretagne qui l’amène à l’une des 8 routes d’accès au centre. Cette piste est très proche d’un lieu étrange et brumeux. Pourtant Goldorak est bien là ! Faisant signe aux autres extraterrestres de se retrouver pour continuer d’investir le territoire Breton.

Finalement Gaël la fin c’est le commencement.

Et comme la fin c’est le commencement on retourne au commencement. Gaël a bien quelques indices prouvant que Goldorak est breton et pas Japonais

Cette scénographie a été écrite par Carlo Cammarata, directeur artistique du projet, en fonction du synopsis écrit le 31 décembre 2020 afin de raconter le dernier épisode de Goldorak ou tout est permis

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